un petit oui, un grand non*
29 novembre 2010 § Poster un commentaire
Le chantier me dépasse, eh ben tant mieux.
C’est l’hiver à Paris, sans la neige, le froid y transperce autant qu’à Montréal, année après année, pour une raison que je ne m’explique pas. Une sorte de novembre montréalais, bien glacial et humide, qui durerait des mois. Pour la neige, on ira à Berlin dans deux semaines.
La montée de la droite (et du salaire des pdg…), dans une grande partie de l’Occident, est désespérante. Chercher à canaliser cette énergie pour fabriquer, y trouver matière à fiction, dénoncer implicitement, fabriquer, coûte que coûte, ajouter sa pierre à l’édifice, même chambranlant, avaler tout ça (comme George Grosz*), le recracher en colère de mots, implicite.
Votre commentaire