sous l’angle
6 novembre 2013 § 2 Commentaires
il n’y a peut-être rien dans ça
pas de motifs changeants ton ciel
sais-tu
pas de pensée sans la sous-langue
qui l’articule
pas de visage possible
sans le masque, ton reflet
s’il n’y avait pas ce mètre carré de bois
où c’est qu’on pourrirait ?
viens donc
arrête de niaiser pis viens
viens que je t’appelle
comment taire?
plein ciel,ono?
bravo pour les notes obliques
oui je sais je ne suis plus
déjà celui ou celle
aux visages possibles dans ces reflets
des motifs changeant mon ciel
je suis niaiseux sais-tu
maladies d’angles
j’articule mais je vis pourrir
saoulé de sous-langue
dans un carré de bois
ce que la forêt n’est plus