fléau

23 juin 2014 § Poster un commentaire

 

Le plus beau fléau garde les jambes ouvertes, les
doigts écartés, les cheveux préhensiles comme des
bêtes courtes cherchant du nez, trouvant du nez. Le
plus beau fléau frappe où je sais, sans écarter la
plèvre et la peau, soulever le masque, le méchant
loup, le hurleur épluché, l’herbe, sans découvrir le
soleil, vieux battu mais pointu.

Un Attila. Vomiques (1973), Eugène Savitzkaya

 

 

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