mitan
29 novembre 2011 § Poster un commentaire
“il y a des évanouissements,
ils ne sont rien d’autre que des morts
dans un corps vivant”
écrivait Döblin*
de son Biberkopf
notre essence constituée de petites morts
nous rendrait lumineux
comme des soleils
qui ne brûleraient personne
juste ils réchaufferaient
le creux du lit
si
* traduction d’Olivier Le Lay
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