nénuphar

24 janvier 2012 § Poster un commentaire

 

on s’entend respirer du dedans
avec par-dessus la musique du dehors
frottée aux bruits intérieurs ça nous rappelle
que nous sommes vivants

disparaître sous l’eau du bain
écran liquide
pour réfléchir et voir
le plafond autrement : flou il appelle
et flou il n’écrase plus
et les chaînes se brisent

tout ça qui ne nous appartient pas
se soulève de nos épaules
j’ai le ventre libre

j’ai le ventre libre

 

 

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Qu’est-ce que ceci ?

Vous lisez actuellement nénuphar à notes obliques.

Méta

%d blogueurs aiment cette page :