23 sept. 2022 au 12 fév. 2023 – La Poupée de Kokoschka au Musée d’art moderne de Paris

1 septembre 2023 § Poster un commentaire

Le Musée d’art moderne de Paris proposait une grande rétrospective de l’œuvre d’Oskar Kokoschka, Un fauve à Vienne, du 23 septembre au 12 février 2023. Réimprimé pour l’occasion, mon premier roman, La poupée de Kokoschka (2010), journal de travail imaginaire de l’artiste costumière Hermine Moos, y était à l’honneur.

Juillet 2022 – parution, Le Matricule des anges

31 août 2023 § Poster un commentaire

Un beau dossier a été consacré à Albertine Sarrazin dans le numéro de juillet du Matricule des anges. Merci à Thierry Cecille pour l’invitation.

(«Bientôt, bientôt», ma contribution.)

18-24 avril 2022 – Grands ateliers, conférence et classe de maître

31 août 2023 § Poster un commentaire

Invitée à donner une conférence à Québec dans le cadre des Grands ateliers des programmes conjoints de maîtrise et de doctorat en lettres UQAC/UQAR/UQTR qui se sont tenus les 22 et 23 avril, j’ai eu le plaisir d’animer une classe de maître à Rimouski auprès d’étudiants du 2e cycle en création. Merci encore à Mathilde Barraband, Camille Deslauriers et François Ouellet pour l’invitation.

9 juin 2022 – lecture partagée à la librairie EXC

25 Mai 2022 § Poster un commentaire

Très hâte de rencontrer Camille Readman Prud’homme à l’excellente librairie EXC pour une lecture partagée de nos livres parus chez L’Oie de Cravan. Jeudi 9 juin à 19 h, passage Molière (Paris 3e) !

31 mars 2022 – rencontre à la librairie Libralire

18 mars 2022 § Poster un commentaire

Depuis quelques jours, ça y est, Une grande maison, cette nuit, avec beaucoup de temps pour discuter (L’Oie de Cravan éditeur) est en librairie en France. J’aurai le plaisir d’en lire quelques extraits et surtout d’en discuter avec l’autrice Justine Arnal le jeudi 31 mars prochain, à 19h30, à la librairie Libralire (116, rue Saint-Maur, Paris XIe). J’ai hâte de vous voir !

novembre 2021 – Une grande maison, cette nuit, avec beaucoup de temps pour discuter

8 décembre 2021 § Poster un commentaire

Il y a quelques semaines j’étais au Québec. Manière de combler un manque qui, je le sais, survient au retour de chacun de ces voyages – et encore davantage lorsqu’ils se font rares –, j’ai rapporté beaucoup, beaucoup de livres dans mes bagages. Dont celui-ci. Il n’est jamais facile d’« arrêter » la course d’un texte. Et ma « grande maison » a ceci de particulier qu’elle est un travail au long cours, enfin je le souhaite – un travail que je poursuis et qui se poursuit. Une suite non pas d’aphorismes mais d’impressions, d’épiphanies, de fulgurances. Des papiers collés. Une façon aussi d’explorer la porosité entre monde nocturne (espace du rêve, de la fiction) et monde diurne (le [dit] réel). Une tentative de ne pas laisser s’échapper les instants poétiques du quotidien, venus de la beauté comme de la douleur, de ne pas perdre leur intensité vaporeuse mais vécue, qui ne prend tout son sens, à mes yeux, qu’en étant partagée avec l’Autre.
L’idée de transformer ces impressions en projet de livre m’est probablement venue il y a des années en lisant L’heure limicole de Nathanaël et son amour des oiseaux. Je l’en remercie.
Parce que, selon mon amie L’Oie, ces textes et notes se trouvaient liés par un même esprit, un même ton, on retrouve en deuxième partie les articles parus dans la regrettée revue montréalaise et bilingue Le Bathyscaphe. Je l’en remercie aussi pour ce prolongement de vie.

Le livre paraîtra en France en mars 2022.

5 novembre 2021 – conférence à Montréal dans le cadre des États généraux du CRILCQ

8 décembre 2021 § Poster un commentaire

Merci encore à Marie-Pascale Huglo, Claire Legendre et Laurance Ouellet-Tremblay pour leur invitation à prononcer la conférence d’ouverture de la matinée dédiée à la recherche-création lors des derniers États généraux du CRILCQ (Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises) qui se sont tenus à Montréal en novembre dernier. Ce fut l’occasion d’un très riche dialogue sur la création au sein du milieu universitaire québécois.

« Sur le seuil : entre voix singulières et horizon commun » En tant qu’autrice québécoise installée en France depuis quinze ans, je m’exprime depuis un seuil, c’est-à-dire depuis une faille, un écart, le lieu d’un entre-deux fertile. Aussi pour dresser un portrait de la création artistique, plus spécifiquement littéraire, telle que je la conçois et l’observe dans mon milieu – espace d’un dialogue entre cultures issues d’horizons divers –, je me propose de penser les notions de création et d’identité dans ce qu’elles ont de plus ouvert. Il paraît impossible de réfléchir à ce qui se fait en littérature québécoise actuellement sans parler de maturité et d’ouverture, sans évoquer l’insoumission de la langue et la force d’une prise de parole. À l’inverse d’un repli, je voudrais, pour ouvrir cet espace de réflexion, penser avec vous les spécificités d’une littérature affirmée et d’une langue telles qu’elles permettent aujourd’hui de dresser des ponts entre des singularités.

Plus d’informations sur tout le programme ici.

27 octobre 2021 – dialogue imaginaire avec Albertine Sarrazin

8 décembre 2021 § Poster un commentaire

« Alors, je cours, je cours sans fin parmi les étendues d’arbres, de pierres et d’eau : nue et noire, je m’enfuis en serrant ma jeunesse, sur des pentes chinées d’air et de lumière. » (La Cavale)

J’ai eu le grand plaisir de « dialoguer » avec Albertine Sarrazin mercredi soir 27 octobre, à Grenoble, dans le cadre du séminaire « Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui » de Catherine Mariette. Plaisir de la parole et de la rencontre, si précieux après tous ces mois d’enfermement. Merci encore à Catherine Mariette ainsi qu’aux étudiantes et étudiants pour cet échange vivant.

Morte en 1967 à l’âge de 29 ans, Albertine Sarrazin a passé près du tiers de sa vie en détention. Sans nom, avec pour tout bagage le désamour de ses parents adoptifs, une intelligence aiguë et la volonté d’écrire, elle a su tirer de ces années de captivité un matériau littéraire lumineux et d’une rare intensité.

25-28 octobre 2021 – atelier d’écriture à l’Université Grenoble Alpes

8 décembre 2021 § Poster un commentaire

Un grand merci encore à Laurent Demanze, Catherine Mariette et Pascale Roux pour leur accueil à l’université de Grenoble, ainsi qu’à tous les étudiants pour leur participation enthousiaste à cet atelier d’écriture au long cours. Travail sur l’image, le portrait, la dramaturgie, clins d’œil entre textes croisés. Émulation ! (Plus haut, un des personnages récurrents de cette belle semaine, fixé sur mon frigo : banquier flottant dans les bains de Budapest, une œuvre de Károly Escher, photographe hongrois [1890-1966].)

londres – mai 2018

31 août 2018 § Poster un commentaire

 

En mai 2018, à l’Institut français de Londres, s’est tenu le Beyond Words Live French Literature Festival et sa soirée « Noémi Lefebvre, Eimear McBride & Fresh French Voices », à laquelle j’ai eu le plaisir d’être conviée avec l’écrivain Pierre Senges, mon compagnon, et de Jeanne Guyon, éditrice chez Verticales, pour une discussion animée par Emmanuel Bouju. Le texte déjà présenté à la Maison de la poésie de Paris en janvier, À bras-le-corps, une histoire de crédit, a été lu dans sa version anglaise (Tooth and Nail : A Credit History, trad. Jacob Siefring).

On trouve plus d’informations sur le festival ici.

London © Jeanne Guyon - Verticales

Pierre Senges et Lucie Campos du bureau du livre, et moi, dans la bibliothèque de l’Institut. © photo Jeanne Guyon – éditions Verticales

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